Revue de presse

Vendredi soir, la 6e édition de la Biennale équestre organisée par l’association Connaissance de la Meuse a, ébloui les quelques milliers de spectateurs venus voir Clémence Faivre, la Compagnie Jehol, et la Compagnie L’Art au galop.

Fort en émotions Les cinq cavaliers de la Cie L’art au galop évolue dans un carrousel appelé « Osmose », mettant en valeur le dressage inspiré de l’équitation française. Benjamin de la Cie Jehol, accompagné de ses six chevaux en totale liberté, danse avec eux. L’art au galop enchaîne avec un trio : deux cavaliers font un travail de longues rênes (quand le cavalier est à pied derrière le cheval, et le tient par de longues rênes, ce qui peut être dangereux), et une cavalière évolue debout sur le dos du cheval.

Les numéros s’enchaînent. Aucun ne se ressemble. Le public continue d’applaudir. Les dernières représentations mêlent émotions, voltige et dressage. Marine de la Cie Jehol, aux côtés de cinq chevaux comtois, réalise des figures circassiennes impressionnantes sur la chanson « Voilà » de Barbara Pravi. Le moment est fort et émouvant . Petits comme grands, tous ont des étoiles dans les yeux.

Clémence Faivre, tête d’affiche de cette 6e édition de la biennale équestre, et son cheval Fuego ont mis le feu à la piste.

Qu’avez-vous présenté au public de Thillombois ce vendredi soir ?

« Ma spécialité c’est le dressage de Haute École. Je commence par la bride. Ensuite, il y a une deuxième partie où je retire la bride et à la fin du numéro, le cheval danse en totale liberté autour de moi. Je fais en tout deux numéros de dix minutes, un avec Gotan, qui veut dire Tango à l’envers, et l’autre avec Fuego. Ce sont tous deux des Lusitaniens. »